WORKSHOP
Description
Les travaux de Robertson et Seymour sur la théorie des mineurs de graphes (1980-2000) et ceux de Courcelle à l’interface de la logique et de l’algorithmique des graphes (1990) ont confirmé l’importance, tant du point de vue structurel qu’algorithmiques, des méthodes de décomposition de graphes et les paramètres de largeur associés. Les premiers travaux algorithmiques sur des paradigmes de décomposition arborescente de graphes ont émergé dans les années 70 et ont connus un ressort considérable dans les années 2000. Ce groupe de travail a pour but de faire un point exhaustif sur l’état de l’art avec l’objectif de préparer un document de synthèse sur ce sujet.
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Ce projet interdisciplinaire vise à développer des outils numériques fiables et efficaces pour la modélisation de certains systèmes mécaniques à l’aide de découvertes mathématiques nouvelles tournant autour de la notion de Q-variété. Cette notion qui unifie les structures Hamiltoniennes, de Dirac, et les feuilletages singuliers n’a jamais été discrétisée, alors même qu’il semble évident qu’une telle discrétisation, permet d’étendre les techniques bien connues d’intégrateurs géométriques (symplectiques par exemple).
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Participants
Christophe Paul (CNRS – LIRMM, Université de Montpellier)
Ignasi Sau (CNRS – LIRMM, Université de Montpellier)
Giannos Stamoulis (CNRS – LIRMM, Université de Montpellier)
Dimitrios Thilikos (CNRS – LIRMM, Université de Montpellier)